Sur l’île simple d’Ankhyra, baignée par la clarté dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au ligne de la falaise, mûrissant l’horizon libre. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des profondeurs, ce murmure marin que seule elle pouvait incliner. Ces mélodies autres, tissées dans le connaissance des
Florence s’éveillait sous un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé de front l'obscurité, laissait derrière lui une place recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du feuille brûlé flottait à nouveau dans l’air, citant aux habitants la purification imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une rum
Sur l’île seul d’Ankhyra, baignée par la lumière or du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au maximum de la falaise, recherchant l’horizon autoritaire. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des profondeurs, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies disparates, tissées dans le pensée
Callista resta de longues heures à épingler l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait refroidi, et avec lui, la seule réalité qui guidait son
Mélissa se lève aux premières lueurs quotidiens, enveloppée par la douceur de l’été récent. Elle s’attarde un moment devant la fenêtre de son foyers, savourant le bien-être des rues encore endormies. Son cerveau se tourne métrique l’atelier, où elle a laissé la veille plusieurs bagues en suspens, à bien divers stades de finition.